Ça fait quelques temps que je n’ai plus internet chez moi, ce qui explique (en partie, je le reconnais) l’absence de mises a jour ici-même ces derniers temps (je sais, je pourrais faire mes MAJ au bureau – c’est d’ailleurs ce que je fais pour cette note – bref). Ça devrait revenir a la normale cette semaine, avec un rythme *un peu* plus soutenu (et je crois avoir quelques idées en plus).
Jeu bonus pour toi, ami lecteur : saura tu retrouver les dessins fourbement recycles pour cette note un peu plus longue que la moyenne ?
Le premier ? 😀 Toujours aussi bien ces petites histoires.
Hey te voilà de retour, j’ai eu peur !
bon enfin sont super cher aussi les taxis la bas
le copier/coller, cest mal, surtout entre deux cases :p
Quand j’étais à Taiwan, je voyais des rangées de scooter dont certains avec clés et casques dessus… Personne n’y touchait.
En France, ça aurait été volé direct =D
Bravo aux taxis japonnais,
même si ce détour peux faire psychoter un instant ! [ ^ _^]
En scrollant vite, ca pourrait presque passer pour de l’anim ! ^^
Dessins 12 & 13 🙂
Les taxis drivers coréens sont également assez honnêtes. Mais ce sont limite des pilotes de courses par ici… On les appelle les bullet-taxis.
Perso j’avais pas teste, honnete oui! mais apparemment cher par rapport au taxi New yorkais!
Aaaaah, enfin de retour !
c peut etre la crise mais j ai eu droit recemment a des taxis qu on fraude. explication: je monte, les types mettent pas le compteur en marche et me font payer un prix de course legerement inferieur a ce qui est affiche. resultat la course part direct dans leur poche (ils sont salaries).
et sinon montez pas dans les green cab et les odakyu taxis. les premiers sont des yaks pas tres sympas et j ai eu des ennuis avec odakyu, c est des gros c…
mais sinon, c com ka dit remka.
😉
je voulais dire “a ce qui aurait ete affiche” ci-dessus! ils arrondissent vers le bas quoi. et ils decidend du prix des que tu montes.
Marco, j’ai la meme experience que toi. Moi, betement, j’ai pense qu’il avait juste oublie de mettre le compteur en route… oue que dalle 😉 Bien vu!
Par contre, par 2 fois, j’ai eu un autre probleme: en partant de Hamamatsucho, je voulais, avec 2 collegues (1 anglais et 1 japonais) aller jusque Shibuya…
On monte, et 2 fois on nous a fait le coup du: ah non je sais pas comment on fait pour y aller. Et tout ca, avec un Car Navi dans le taxi (non mais… au cas ou… dans le pire des doutes que le mec connaitrait pas par un incroyable concours de circonstances, une gare denommee Shibuya…)
laurent > les distances ne sont pas les mêmes non plus… De même que la qualité du service. Et contrairement à Paris, pas ebsoin de faire la queue une heure pour avoir un taxi un vendredi soir 🙂 .
pangolin > Je plaide coupable. Mais y’avait vachement de cases !
Bunta > Au McDo, les gens posent leur portefeuil sur une table pour marquer leur place, le temps d’aller commander…
julien > Bien vu (j’aurai du plus alterner aussi…). Tu as gagné le droit de me donner une idée pour ma prochaine note! – bon OK, pour la prochaine et celle d’après j’ai déja une idée, mais si tu as un thème que tu voudrais me voir aborder, je t’écoute.
ideo > Je dirais qu’ici, ça dépend du chauffeur. Mais c’est vrai qu’en tant que cycliste, tu frôles la mort 20 fois par jour à cause des taxis ici…
marco > Jamais eu cette expérience. Par contre j’ai déja testé les “shio-aku”, les faux taxi, ou tu négocies le prix de la course avant de monter. Ca peut être intéressant quand tu connais la route et que tu ne veux pas faire la queue… (testé aussi à Paris, c’était assez folklo, j’en ferais peut-être une note un de ces jours, même si ça n’a rien à voir avec le Japon).
Goma > je suis aussi déja tombé sur des blagueurs : “je ne prend spas la carte” (alors qu’il y a un gros logo visa sur la vitre, et qu’on est à mi-course), ou alors de vieilles blagues sur les gaijin qui font rire un peu jaune… Mais ça reste une minorité, et perso, on ne m’a jamais refusé une course (ce serait même plutôt le contraire.
goma > Si si, il y a des chauffeurs qui ne connaissent pas la gare de Shibuya. Un jour, c’est moi, (un gaijin !), qui ai dû expliquer le chemin à la chauffeuse (oui, c’était une femme, deux raretés pour le prix d’une, ce taxi). Bon, de Roppongi, c’était pas trop compliqué à expliquer, mais j’ai failli m’étrangler de rire.
Elle m’a expliqué que c’était son premier jour de travail à Tokyo, elle venait de province, elle était sincèrement désolée.
Bon, c’était avant la crise, il y a une petite vingtaine d’années, mais quand même.
Par contre, jamais eu l’expérience de la course négociée au black.
très bonne note!
la prochaine fois je jette mon vélo dans le port.